Des élèves de Sacré-Coeur à la conférence préconcert de l’OSS

Le 13 mai dernier, six élèves ont eu l’occasion d’interpréter trois pièces lors de la conférence préconcert de l’Orchestre symphonique de Sherbrooke. La conférence, intitulée Disco 101, était animée par leur enseignant de piano, Monsieur Louis Brouillette. Puisque certaines pièces du spectacle de fin d’année de nos artistes en herbe proviennent de l’univers de la musique disco, Monsieur Louis a saisi l’occasion de bonifier son discours grâce au talent de ses élèves. Une belle opportunité pour ces six jeunes musiciens qui ont par la même occasion pu assister au spectacle de l’orchestre!

La petite histoire du journal Splash

Alors que les événements soulignant le 50e anniversaire des classes d’arts de l’école du Sacré-Coeur culmineront dans les prochaines semaines, le Splash passe en mode rétrospective. Dans les prochaines publications, nous vous proposerons quelques articles revisitant des moments marquants de l’histoire de l’école en commençant par l’historique du journal Splash, dont l’existence remonte à plus de 35 ans.

En effet, le journal de l’école du Sacré-Cœur a été publié pour la première fois en 1986. Bien sûr, à l’époque, c’est sous un format papier qu’il paraît à raison de quelques numéros par année. On nous dit que les copies, disponibles à l’école, s’envolaient très rapidement! Avec l’entrée en scène du Web, au tournant du millénaire, un format PDF fait son apparition sur le site de l’école.

En septembre 2016, le Splash prend résolument le virage numérique et abandonne ses publications sur papier pour prendre la forme que vous lui connaissez aujourd’hui. Cette nouvelle formule permet des publications plus fréquentes, ainsi que l’intégration de vidéos et d’un nombre accru de photos.

C’est donc depuis 37 ans, qu’année après année, des parents bénévoles veillent à alimenter le journal de l’école avec la complicité des élèves et des membres du personnel. Saviez-vous qu’un journal étudiant intitulé « Au rythme des mots » a également été publié durant quelques années à Sacré-Coeur?

Paniers de légumes bio : une campagne couronnée de succès !

Le 11 novembre dernier, la ferme du Coq à l’Âne de Bury et une équipe de bénévoles ont distribué 159 paniers de légumes biologiques dans le cadre de la campagne de financement automnale. Grâce à la générosité de la communauté de Sacré-Coeur, 59 paniers ont également été envoyés  à Moisson Estrie. Au terme de cette campagne ce sont environ 1200$ qui ont été amassés pour le Comité du 50e anniversaire de l’école.

Merci à tous !

Écrire des histoires de peur … pas si facile !

Par Sara Bernier (5e année – Classe de Laurence)

Écrire des histoires, on se dit que c’est bien simple. On a un peu d’inspiration, on la met sur papier, voilà! Pas sûr… En réalité, écrire des histoires demande pas mal de préparation. Voici les étapes que les élèves de 5e année de l’école ont suivies pour écrire des histoires captivantes … et épeurantes!

Pour bien se préparer à avoir des idées intéressantes, éviter les fautes et réussir un bon récit en 5 temps, les élèves ont fait des ateliers. Ils ont lu des albums jeunesse sur les iPads de la classe et identifié chaque étape du récit en écrivant les parties du livre sur une feuille.

Ils ont aussi lu des livres d’horreur (pas trop terrifiants non plus hihi) et trouvé des mots de substitution pour ne pas trop se répéter.

Dans un autre atelier, les écrivains en herbe ont aussi travaillé leur talent en art en créant un décor lugubre avec des fonds en aquarelle pour former un coucher de soleil. Pendant une période de bibliothèque, les élèves ont tracé des silhouettes de cimetières, chats, arbres morts et vieux châteaux à l’aide d’encre de Chine. Pour prévenir les petits accidents tachants, vieux chandails et tabliers protecteurs étaient à l’honneur.

Une fois les magnifiques décors terminés, il était temps de passer aux choses sérieuses pour écrire nos fabuleuses histoires. Avant tout, les équipes ont été choisies. Ensuite, le plan a été fait pour bien planifier ses idées avant de commencer la rédaction. Une fois leurs idées validées par leurs enseignantes, les apprentis rédacteurs ont commencé à écrire une histoire, entre 250 et 400 mots, même si certaines équipes allaient jusqu’à 550. Beaucoup d’efforts ont été faits pour ajouter de nombreux mots «de peur », tel que lugubre, glacer le sang, cadavre, etc. Ouf !

Déjà, les élèves avaient beaucoup travaillé. Mais ce n’était pas fini. Il restait encore à présenter les histoires aux autres classes de l’école. Dans la classe de Mme Isabelle, des marottes ont été confectionnées, et les histoires racontées à la manière d’une pièce de théâtre.

Pour les classes de Mme Chantal et Mme Laurence, des kiosques ont été faits à l’aide de bureaux, de draps, d’accessoires et d’ipads pour mettre des sons et de l’ambiance de peur. De nombreuses classes sont venues et les frissons étaient bien présents ! Étonnamment, tout ce long processus n’a pas pris plus de 2 semaines !!!

Déjà fini ??? Se sont exclamés quelques élèves. Mais, malheureusement ce merveilleux projet est bel et bien fini. Cependant, le fait de vivre cette expérience donnera des tonnes de beaux souvenirs aux élèves !

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Le Moyen Âge à l’étude en 4e année

Cet automne, les élèves de la classe de Marie-Eve Gaulin ont eu la chance de recevoir la visite de Chantal Rhéaume. Elle leur a permis de faire de nombreuses découvertes historiques en lien avec le Moyen Âge.

Voici ce que nos journalistes en herbe ont retenu de cette visite.

Lors de la présentation avec Mme Chantal Rhéaume, j’ai appris que les filles devaient se marier à 12 ans parce qu’elles mouraient très jeunes. Saviez-vous que le poids d’une armure d’un chevalier est d’environ 300 livres ? Aussi, j’ai appris que le nom de famille des gens dépendait de l’emplacement de leur maison ou de quelque chose de particulier autour de celle-ci. Les paysans s’occupaient des animaux et ceux-ci pouvaient se promener à l’intérieur de la maison. L’avantage d’avoir des animaux à l’intérieur était qu’il faisait plus chaud en hiver car les animaux dégagent de la chaleur. Ce que j’ai beaucoup apprécié est le jeu en grand groupe avec les ennemis et les gardes. Saviez-vous que les nobles prenaient un bain environ aux deux mois ? Je recommande cette animation aux enfants qui aiment les chevaliers, les nobles, les rois et les seigneurs ainsi qu’à tous ceux qui aiment apprendre.

Flavia Dario

Je ne savais pas ce qu’était un « adoubement », mais maintenant je le sais et je peux même vous l’expliquer. C’est une cérémonie qui faisait qu’un écuyer devenait un chevalier. Je sais aussi ce que veut dire « cotte de mailles ». C’est une tunique avec des milliers d’anneaux de fer. Ça pèse une tonne! Sérieusement, je l’ai essayée et ça pèse au moins 7 kilos… Bon, je vais vous dire ce que j’ai préféré : porter un hennin comme dans les films. Pour finir, OUI je recommande cette activité à des élèves de mon âge car c’est très drôle, on fait des jeux, on s’amuse et on apprend aussi.

Anne-Philippe Bergeron

Avec madame Chantal, j’ai appris que la plus haute tour d’un château est le donjon. J‘ai appris aussi que la cotte de mailles est un chandail avec beaucoup d‘anneaux en fer.

Ce que j’ai le plus aimé c’était le jeu avec des questions sur le Moyen Âge et les chevaliers. Quand notre équipe avait une bonne réponse, deux chevaliers avancaient vers le Château.

Je recommanderais cette animation parce que c’est très intéressant, on apprend beaucoup de choses sur le Moyen Âge et on voit qu’on est très chanceux d’avoir le mode de vie d’aujourd’hui.

Manuela Tavares Feitosa

J’ai appris plein de choses comme ce qu’est qu’un adoubement et ce qu’est une herse! La définition d’adoubement est une grande fête au cours de laquelle un écuyer devient officiellement chevalier. Et une herse est une plus ou moins grande porte de métal qui peut être relevée ou abaissée. J’ai adoré les jeux d’équipe même si on ne gagne pas tout le temps… Je recommande cette animation aux élèves de tout âge parce que tu peux apprendre tout en t’amusant !!!

Clara Beaud’Huy-Laurendeau

Les paysans au Moyen Âge ne pouvaient pas s’appeler comme ils le voulaient. Ils s’appelaient comme l’endroit où ils habitaient. Si tu vivais dans une famille de chevalier, tu allais devenir un chevalier plus tard, mais si tu vivais dans une famille de paysans, tu allais faire le travail d’un paysan.

J’ai aimé faire les petits quiz. Je recommande cette animation à d’autres élèves de mon âge parce que c’est très intéressant et amusant.

Zachary Péloquin