L’orchestrarium de monsieur Albert

Tous les élèves de l’école ont eu la chance, le 13 avril dernier, d’assister à un concert de l’Orchestre symphonique de Sherbrooke. L’événement, intitulé « L’orchestrarium de monsieur Albert », visait un public familial et scolaire. Il s’agissait d’un spectacle interactif, dans lequel les enfants pouvaient participer tout au long de la prestation musicale.

Sur le site web de l’OSS (http://ossherbrooke.com/concert-jeune-public/), on peut lire que les spectateurs participent « musicalement, avec des percussions corporelles orchestrées par les comédiens, puis, par la force de leurs applaudissements, qui vont leur permettre de faire des choix tout au long de la représentation, influençant ainsi le cours de l’histoire! À travers le spectacle loufoque et intrigant, et grâce au guide pédagogique qui sera fourni aux enseignants en début d’année, ils découvrent l’orchestre symphonique de façon ludique. »

L’histoire présentée est celle d’Albert, qui « découvre une curieuse machine, l’Orchestrarium, et réalise qu’il peut contrôler l’orchestre et les musiciens avec cette machine. Emballé, il commence à explorer la machine jusqu’à ce que, par mégarde, il fasse apparaître Bertal, l’homme de l’ombre, qui tente de saboter le travail d’Albert. Les deux personnages se pourchassent dans différents tableaux musicaux, jusqu’à ce qu’au cours d’un duel ultime, ils réalisent que leurs forces combinées permet une plus grande expression musicale. Le spectacle se termine sous le signe des festivités et de la réjouissance, alors que les trompettes et tambours résonnent. »

« La musique du spectacle est vivante, actuelle et teintée d’influence de musique de film, de jeux vidéo et de musique du monde, tout en conservant une touche néo-classique et contemporaine. L’histoire est racontée par un narrateur mystérieux qui interagit avec les enfants tout au long du spectacle. Albert et Bertal forment un duo comique muet, alliant des techniques de mime, de clown, de théâtre d’objet et d’improvisation. Ils sont accompagnés du chef d’orchestre Stéphane Laforest et de 30 musiciens professionnels de l’Orchestre symphonique de Sherbrooke sur scène. »

Gabrielle, en 3e année, a surtout apprécié le côté interactif du concert, et particulièrement l’appareil qui mesurait la force des applaudissements et qui permettait d’influencer le cours de l’histoire. Noémie, en 1re année, a pour sa part tout aimé!

Le questionnaire du lunch écologique

Saurez-vous répondre aux questions préparées par le comité environnement et posées aux enfants lors du lunch écologique de mardi dernier?

  • Combien d’années prend une bouteille en plastique pour se décomposer?
  1. 50 ans
  2. 200 ans
  3. 400 ans

 

  • Lorsque tu recycles des bouteilles de plastique, que peut-on fabriquer en les transformant?
  1. Une serre pour faire pousser des légumes
  2. Un manteau en laine polaire (Polar)
  3. Des œuvres d’art géantes

Voici les heureux gagnants du tirage effectué parmi les réponses reçues, qui ont pu repartir avec un sac à collation en tissu portant le logo de l’école Sacré-Coeur.

Vous apprendrez peut-être qu’une bouteille en plastique prend 400 ans à se décomposer, et que toutes sortes de choses peuvent être faites en recyclant ces bouteilles.

thumbnail of Quiz 2018 – Lorsque tu recycles des bouteilles de plastique,

À Sacré-Cœur, l’environnement nous tient à cœur!

Avec l’arrivée du printemps, le Comité environnement de l’école du Sacré-Cœur est très actif.  En fait, c’est surtout la journée de la Terre, le 22 avril prochain, qui stimule les parents bénévoles de ce comité à organiser de belles activités de sensibilisation pour les élèves de notre école.

Deux grandes activités sont organisées pour souligner l’importance de protéger notre environnement.  Le mardi 17 avril, les élèves sont invités à se préparer une boîte à lunch écologique, où le moins de déchets possibles seront produits : contenants réutilisables, boîtes à boire de plastique lavable, tout moyen pour réduire les déchets produits est encouragé.  Un jeu-questionnaire et un tirage seront organisés sur ce thème.

Le vendredi 20 avril aura lieu le grand événement du Dîner de la Terre.  Sur la cour pendant l’heure du midi, une ambiance festive entourera les élèves invités à une multitude d’ateliers.

Les élèves pourront faire des dessins sur la cour avec des craies de trottoir et participer à une œuvre d’art collective créée à partir de bouchons de plastique.  Les futurs jardiniers pourront en apprendre sur la germination et démarrer des mini-serres dont ils pourront suivre l’évolution en classe.  Plusieurs organismes de la région, comme Récupex et Parlons sciences, viendront rencontrer les élèves et discuter avec eux de recyclage, de vêtements usagés et textiles récupérés.  Finalement, l’estampe officielle de « Sacré-Cœur Environnement » sera remise à chaque élève qui désire montrer que l’environnement lui tient à cœur!

 

Aimez-vous la Drumline? (si oui, ce texte sera pour vous!)

SALUT! Saviez-vous que la Drumline Kaboom de l’école Sacré-Cœur a fait une première compétition le 17 mars 2018 à Victoriaville? Oui! En plus, nous avons obtenu la troisième place dans cette compétition. Et plus encore, M. Olivier, notre professeur de Drumline, nous a dit que nous étions bons! Il ne nous dit pas souvent qu’on est bon, mais je pense que c’est parce qu’il veut nous pousser plus loin.

 

Bon, commençons par le début. À 13h nous sommes allés à l’école Du Phare pour pratiquer nos pièces. À 15h, nous sommes partis à Victoriaville. Arrivés à notre compétition, nous cherchions M. Olivier et il n’était pas là! Stressant! Quand les Drummers de l’Université de Sherbrooke sont arrivés, Leïla, moi et d’autres amis de la Drumline Kaboom leur avons demandé: Est-ce que M. Olivier est arrivé? – parce que M. Olivier joue dans la Drumline de l’Université – et ils nous ont répondu: Non, mais quand il va arriver on va vous l’envoyer. Ensuite, quand M. Olivier est arrivé, on nous a prêté une loge pour pratiquer et manger parce qu’on jouait à 18h30. Nous avons commencé à pratiquer 20 minutes avant notre compétition. On avait de la difficulté dans la dernière pièce: Finale Kaboom 2018. Mais là, ce que je vais vous raconter c’est comment j’ai vécu ça, 10 minutes avant le spectacle.

Dix minutes avant de jouer devant les juges, nous sommes allés pratiquer dans un gymnase proche de celui où nous allions jouer. J’étais super, mais SUPER stressée, mais confiante parce qu’on avait beaucoup pratiqué avant cette première compétition. M. Olivier nous a dit: Oubliez le mot « compétition » et remplacez-le par « spectacle ». Il y avait des personnes qui étaient tellement stressées qu’elles ont dû faire des respirations pour se calmer. Moi, c’est avant d’être sur la scène que j’étais stressée. Mais quand j’ai commencé à jouer, j’étais simplement trop contente d’être là! On a moins bien réussi Afrocubano, deuxième pièce que nous avons apprise. Mais sinon, c’était bien. Je pense que nous avons gagné des points à cause de notre interprétation à la fin d’Afrocubano! Bref, c’était VRAIMENT magique d’être sur la scène!

 

Ce qui était le plus spécial, c’est que la Drumline Du Phare et celle de l’Université de Sherbrooke (le Vert et Or) nous encourageaient en nous disant:

KABOOM!!! KABOOM!!! KABOOM!!!

Ce qui était aussi vraiment agréable, c’est quand nous arrêtions de jouer nos pièces, les exclamations et les applaudissements s’élevaient dans les estrades pour reconnaître notre travail. Les Drumlines placées sur un banc à côté de nous criaient aussi pour nous encourager. J’étais très fière de moi et de notre Drumline Kaboom parce que nous avions travaillé TRÈS fort pour cette première compétition. Quand nous étions dans la loge, après notre présentation, la Drumline Du Phare et celle de l’Université de Sherbrooke étaient venues nous acclamer! M. Olivier était très fier de nous. Il nous a félicités beaucoup, mais vraiment beaucoup. Ensuite, une madame qui s’appelait Frédérique, je crois, nous a emmenés dans le gymnase pour écouter les autres Drumlines. Au début, je ne savais pas contre qui nous allions jouer. Mais quand j’ai appris qu’on jouait contre des secondaires 1 et 2, je n’ai pas géré ça facilement, mais j’ai réussi.

J’ai hurlé très fort quand la Drumline Du Phare est embarquée sur scène pour montrer de quoi ils sont capables aux juges. Leur présentation s’est bien passée sauf que dans la catégorie de Du Phare, ils sont supposés se déplacer en jouant. Mais eux, ils ne se sont pas déplacés. M. Oliver avait dit qu’ils ne se déplaceraient pas pour cette compétition. Donc, ça leur a fait perdre des points, mais ils avaient très bien joué de toute façon. À la fin de leurs pièces, on les encourageait en leur disant:

DU PHARE!!! DU PHARE!!! DU PHARE!!!

 

On a même vu Nora, toute souriante et qui était très fière d’elle. Nora est une élève de M. Olivier à l’école Du Phare qui nous enseigne aussi. La Drumline Kaboom, notre drumline, a BEAUCOUP aimé la présentation de la Drumline Du Phare.

 

Quand l’Université de Sherbrooke a joué, j’étais super contente car M. Olivier et son assistant Michael, stagiaire comme Nora, jouaient dedans! On les a autant encouragés que la Drumline Du Phare. Je ne savais pas que M. Olivier était Bass Drum! Je dis ça parce que moi aussi je suis Bass Drum. Ce que j’ai trouvé « cool » dans cette présentation c’est qu’il y avait de la guitare électrique et des chanteuses! J’ai beaucoup apprécié l’ambiance dans ce spectacle. Et, comme ça terminait à 23h, je suis revenue en dormant dans l’auto Zzzz  Zzzz  Zzzz … J’espère que vous avez aimé cet article!

 

Valeria Cutimanco

La Drumline KABOOOM de l’école du Sacré-Cœur

Voici un texte d’Olivier Adam, responsable de la Drumline de l’école.

Cette année, la Drumline a entamé sa deuxième année d’activité complète. L’année pilote, qui a débuté en janvier 2015, visait à déterminer si c’était une bonne idée d’investir dans cette activité. Dans notre année cobaye, nous avons eu une vingtaine d’inscriptions. Le Conseil d’établissement nous a donc donné le feu vert pour continuer l’activité de Drumline. La première vraie année, nous avons enseigné à 24 élèves. Cette année, nous comptons 30 membres dans nos rangs. C’est formidable de voir qu’il y a un engouement pour ce projet.

Le but de ce projet est d’avoir du plaisir tout en apprenant qu’il est possible de tout faire si l’on y met l’énergie qu’il faut. Nous travaillons beaucoup l’esprit d’équipe, car quand on fait de la Drumline, nous devons tous jouer exactement en même temps. Nous travaillons aussi la discipline et la concentration, un peu comme dans les arts martiaux. Il est important de comprendre que chacun des élèves est un morceau de casse-tête et que chacun doit bien pratiquer pour que son morceau de casse-tête s’emboîte parfaitement avec les autres. C’est important de faire son travail si on veut voir l’image. Le travail de chacun est important.
La Drumline se produira partout où elle sera invitée, comme à la Féérie de Noël et à la cérémonie de finissants de l’école Sacré-Cœur. Peut-être même qu’elle participera à une compétition au Festival des Orchestres et Harmonies du Québec au mois de mai. Il y a aussi le circuit de Drumline du Québec qui est intéressant. Les compétitions sont le 17 mars à Victoriaville, le 5 avril à Saint-Hyacinthe et le 7 mai à Montréal.
Pour voir les meilleures Drumlines au monde : youtube wgi drumline.