Photo« Lapinou »ton : 1,2,3, souriez!

Après le photomaton, voici le photo-lapinou-ton! Les élèves de Mme Valérie ont réalisé de belles créations en prévision de Pâques. Les lapins à pelage de lettres des 2e année sont bien drôles avec leurs grosses lunettes. Réalisées avec des dessins au feutre et du collage, les œuvres de ces artistes en herbe égayent les escaliers de l’école.

Aimez-vous la Drumline? (si oui, ce texte sera pour vous!)

SALUT! Saviez-vous que la Drumline Kaboom de l’école Sacré-Cœur a fait une première compétition le 17 mars 2018 à Victoriaville? Oui! En plus, nous avons obtenu la troisième place dans cette compétition. Et plus encore, M. Olivier, notre professeur de Drumline, nous a dit que nous étions bons! Il ne nous dit pas souvent qu’on est bon, mais je pense que c’est parce qu’il veut nous pousser plus loin.

 

Bon, commençons par le début. À 13h nous sommes allés à l’école Du Phare pour pratiquer nos pièces. À 15h, nous sommes partis à Victoriaville. Arrivés à notre compétition, nous cherchions M. Olivier et il n’était pas là! Stressant! Quand les Drummers de l’Université de Sherbrooke sont arrivés, Leïla, moi et d’autres amis de la Drumline Kaboom leur avons demandé: Est-ce que M. Olivier est arrivé? – parce que M. Olivier joue dans la Drumline de l’Université – et ils nous ont répondu: Non, mais quand il va arriver on va vous l’envoyer. Ensuite, quand M. Olivier est arrivé, on nous a prêté une loge pour pratiquer et manger parce qu’on jouait à 18h30. Nous avons commencé à pratiquer 20 minutes avant notre compétition. On avait de la difficulté dans la dernière pièce: Finale Kaboom 2018. Mais là, ce que je vais vous raconter c’est comment j’ai vécu ça, 10 minutes avant le spectacle.

Dix minutes avant de jouer devant les juges, nous sommes allés pratiquer dans un gymnase proche de celui où nous allions jouer. J’étais super, mais SUPER stressée, mais confiante parce qu’on avait beaucoup pratiqué avant cette première compétition. M. Olivier nous a dit: Oubliez le mot « compétition » et remplacez-le par « spectacle ». Il y avait des personnes qui étaient tellement stressées qu’elles ont dû faire des respirations pour se calmer. Moi, c’est avant d’être sur la scène que j’étais stressée. Mais quand j’ai commencé à jouer, j’étais simplement trop contente d’être là! On a moins bien réussi Afrocubano, deuxième pièce que nous avons apprise. Mais sinon, c’était bien. Je pense que nous avons gagné des points à cause de notre interprétation à la fin d’Afrocubano! Bref, c’était VRAIMENT magique d’être sur la scène!

 

Ce qui était le plus spécial, c’est que la Drumline Du Phare et celle de l’Université de Sherbrooke (le Vert et Or) nous encourageaient en nous disant:

KABOOM!!! KABOOM!!! KABOOM!!!

Ce qui était aussi vraiment agréable, c’est quand nous arrêtions de jouer nos pièces, les exclamations et les applaudissements s’élevaient dans les estrades pour reconnaître notre travail. Les Drumlines placées sur un banc à côté de nous criaient aussi pour nous encourager. J’étais très fière de moi et de notre Drumline Kaboom parce que nous avions travaillé TRÈS fort pour cette première compétition. Quand nous étions dans la loge, après notre présentation, la Drumline Du Phare et celle de l’Université de Sherbrooke étaient venues nous acclamer! M. Olivier était très fier de nous. Il nous a félicités beaucoup, mais vraiment beaucoup. Ensuite, une madame qui s’appelait Frédérique, je crois, nous a emmenés dans le gymnase pour écouter les autres Drumlines. Au début, je ne savais pas contre qui nous allions jouer. Mais quand j’ai appris qu’on jouait contre des secondaires 1 et 2, je n’ai pas géré ça facilement, mais j’ai réussi.

J’ai hurlé très fort quand la Drumline Du Phare est embarquée sur scène pour montrer de quoi ils sont capables aux juges. Leur présentation s’est bien passée sauf que dans la catégorie de Du Phare, ils sont supposés se déplacer en jouant. Mais eux, ils ne se sont pas déplacés. M. Oliver avait dit qu’ils ne se déplaceraient pas pour cette compétition. Donc, ça leur a fait perdre des points, mais ils avaient très bien joué de toute façon. À la fin de leurs pièces, on les encourageait en leur disant:

DU PHARE!!! DU PHARE!!! DU PHARE!!!

 

On a même vu Nora, toute souriante et qui était très fière d’elle. Nora est une élève de M. Olivier à l’école Du Phare qui nous enseigne aussi. La Drumline Kaboom, notre drumline, a BEAUCOUP aimé la présentation de la Drumline Du Phare.

 

Quand l’Université de Sherbrooke a joué, j’étais super contente car M. Olivier et son assistant Michael, stagiaire comme Nora, jouaient dedans! On les a autant encouragés que la Drumline Du Phare. Je ne savais pas que M. Olivier était Bass Drum! Je dis ça parce que moi aussi je suis Bass Drum. Ce que j’ai trouvé « cool » dans cette présentation c’est qu’il y avait de la guitare électrique et des chanteuses! J’ai beaucoup apprécié l’ambiance dans ce spectacle. Et, comme ça terminait à 23h, je suis revenue en dormant dans l’auto Zzzz  Zzzz  Zzzz … J’espère que vous avez aimé cet article!

 

Valeria Cutimanco

Jouvence

Ah! Jouvence… C’est tellement plaisant! Il y a tellement de choses à dire. Mais commençons par le début…

Dès que le projet est annoncé aux élèves, ils sont tout excités et impatients de s’y rendre. Il vient vite le temps de faire nos valises et de partir en autobus scolaire. Quelques jours avant le départ des élèves, ces derniers doivent préparer un cri d’équipe. Les trois classes de sixième année seront séparées en deux de sorte à former six groupes. Chaque équipe aura un animal totem entre les escargots, les tortues, les panthères jaunes, les dragons, les éléphants et les chenilles. Arrivés à Jouvence, le plaisir prend place avec un jeu : le chevreuil. L’activité terminée, les six équipes rejoignent leurs animateurs pour faire leurs activités du jour. Au fil de leurs vacances à Jouvence, toutes les contrades vont vivre les mêmes activités. Ils auront la chance de faire de la raquette, du ski de fond, de la glissade sur tube, de l’hébertisme et des activités le soir. N’allons pas croire que les activités sont la seule raison qui fait de Jouvence un séjour mémorable! Demandez à nos papilles gustatives… La nourriture variée est tout simplement fantastique, délicieuse, extraordinaire! Les D’Jouvs (les logements où les élèves dorment) sont luxueux. Ils sont confortables, comportent une douche et salle de bains et des lits superposés. Le lendemain, quand notre séjour est presque terminé, nous chantons ABC pour remercier les animateurs. Nous avons par la suite une remise de médailles en bois pour chacun des groupes. Dans l’autobus, pour retourner à l’école, tous les élèves sont fatigués et rendus chez eux, ils ont les cris d’équipe « pognés » dans la tête!

Laurie et Roseline

Classe de 6e Mme Marie-Ève

Le projet des bonhommes de neige

Quand Mme Marie-Ève nous a annoncé que nous allions commencer le projet des bonhommes de neige au pastel gras, toute la classe était fébrile. Ce projet qui était tant attendu allait enfin débuter. Nous pensions que cette œuvre serait facile à réaliser, mais nous avions tort. C’est pourquoi nous allons vous expliquer comment procéder.

Première étape : faire un premier croquis.

Dessiner un bonhomme de neige peut paraître bien simple, mais nous avions plusieurs critères : il fallait que le bonhomme de neige soit au premier plan, qu’on voie des indices de mouvement, que les proportions du bonhomme de neige soient raisonnables et que l’œuvre soit personnelle (stéréotypes et copie à éviter).

Deuxième étape : recopier le croquis sur le carton de couleur (bleu ou rouge).

Nous avions deux techniques à notre disposition : la copie et la craie. La première méthode consiste tout simplement à recopier le croquis, à l’œil, sur le carton. La seconde procédure consiste à généreusement appliquer de la craie (à tableau) sur les contours du croquis, puis d’étamper la feuille de croquis sur le carton pour que la craie se transfère. ATTENTION : Avec cette technique, on obtient un effet miroir sur le carton.

Troisième (et dernière) étape : colorier le bonhomme de neige avec du pastel gras.

Pour cette dernière étape, deux autres contraintes à respecter : il fallait tout d’abord retrouver des textures. Certains ont décidé de l’appliquer sur le pompon d’une tuque, sur un foulard, ou encore sur d’autres détails de l’arrière-plan. Aussi, il fallait que l’application du pastel montre des zones d’ombre et de lumière.

Voilà! Maintenant, vous savez tout sur ce passionnant projet. Actuellement, les œuvres sont exposées dans le corridor afin que tout le monde puisse les admirer.

Passez les voir!

Carolane Dumoulin

Marie-Laurence Robert

Classe de 6e Mme Marie-Ève