L’école en mode COVID

En tant que parents, nous avons tous constaté l’impact de la pandémie sur notre quotidien. Mais qu’en savez-vous sur les extraordinaires capacités d’adaptation des élèves?

Si les 1re année n’ont jamais connu une organisation scolaire autre à Sacré-Cœur et que certains 2e année n’ont qu’un vague souvenir de l’année passée, nombreux sont ceux qui ont relevé plusieurs changements.

Une élève de 5e année nous fait part de ses impressions :

« Selon moi, la COVID a changé cinq choses. La première est le Purell. On doit se mettre cette substance dégoûtante sur les mains en entrant dans les classes, en entrant dans l’école, en sortant le soir. Pour les récrés, on a le choix de se laver les mains au lavabo ou de se mettre du Purell.

La 2e différence est le violoncelle. Il faut désinfecter nos instruments avant de jouer. On perd beaucoup de temps! Heureusement, on a de plus longues périodes (1 heure au lieu de 30 minutes).

Le 3e changement est les récrés. Nous avons des terrains attribués par classe. Lorsque nos amis d’une autre classe sont sur la cour, le truc pour se réunir est de se rejoindre sur les frontières de nos zones.

La 4e différence est le midi. Moi je vais au service de garde. Comme nous sommes peu nombreux, nous allons dîner dans la classe voisine. Nous avons des tables et des chaises pliantes à installer tous les midis dans la classe malgré la majorité de bureaux vides, ce qui fait que nous sommes un peu coincés!

La 5e différence est le piano. Nous devons nettoyer notre piano avant de s’y installer. L’école ne fournit plus les écouteurs à cause de la désinfection (il aurait fallu se désinfecter les oreilles?!!). Par contre, on peut apporter les écouteurs de la maison (fiou!!).

Bref, malgré le fait que tous ces changements sont plus ou moins agréables, c’est mieux comme ça que le télé-étude! »

Noémie Demers

Du côté des enseignants, un professeur de violoncelle admet que d’être en plus petit groupe a permis aux élèves de progresser rapidement. Un point positif intéressant!

En effet, pour continuer de bénéficier du privilège de faire de la musique et des arts à l’école, l’équipe école et les élèves sont prêts à suivre les mesures sanitaires recommandées. Parfois c’est contraignant, parfois il en ressort des avantages. Chose certaine, tous en garderont un souvenir!

Voici quelques photos illustrant d’autres modifications apportées dans l’école, entre autres pour l’utilisation des locaux.

Accueil musical

Lors du matin glacial de la Saint-Valentin, des membres du personnel ont réchauffé les cœurs en interprétant des chansons du répertoire québécois pour les 600 valentines et valentins de l’école Sacré-Cœur.

Certains ont chanté avec eux, d’autres ont dansé la valse. En somme, l’amour s’est partagé avant l’entrée dans les classes! Voici une courte vidéo de la prestation.

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Patinons en coeur

Le 6 février dernier a eu lieu le traditionnel « Patinons en coeur » au domaine Howard. La température a été très clémente et même la neige était au rendez-vous, rendant l’événement encore plus magique! Au son de la musique, les familles sont venues nombreuses pour patiner en cœur. Que ce soit le personnel ou les élèves de l’école, leurs parents, ou même leurs frères et sœurs, petits et grands étaient de la partie. Que ce soit en patins, en bottes, ou même en traineaux ou en poussettes, les débutants côtoyaient les plus expérimentés! On pouvait voir un sourire sur tous les visages et ressentir le bonheur de patiner tous ensemble. De plus, quoi de mieux qu’un bon chocolat chaud pour venir compléter le trio musique-patin-ambiance! Quelques tirages ont aussi eu lieu, faisant des heureux dans chacune des classes de l’école. Cette activité annuelle a été couronnée de succès, à la veille d’une journée pédagogique plutôt blanche!

19e Gala des Bravos

L’école Sacré-Cœur était bien représentée le 2 février dernier, lors du 19e Gala des Bravos de la CSRS. La drumline Kaboom a fait belle figure en ouverture, où une quinzaine de membres du groupe ont présenté avec aplomb deux courtes pièces, Toune 1 et Toune 2. Une élève de 3e année de l’école, Madeleine St-Hilaire, a plus tard interprété la chanson Je vole en solo. Le gala, animé par David Goudreault, a permis de souligner l’engagement, la réussite de défis et l’excellence de près d’une centaine de jeunes et moins jeunes élèves et étudiants de la CSRS. Les réussites de quelques élèves de l’école ont d’ailleurs été soulignées. Bravo à toutes et à tous!

Voici quelques photos de l’événement, tirées entre autres du site Facebook de la CSRS et de La Tribune.